Le centre propose pleins d’activités dont un cours d’improvisation avec Jocelyn, son énergie et sa bienveillance ont rendu chaque séance enrichissante et ludique. Une expérience inoubliable 😍
Merci Jocelyn
Je pratiquais le cours d'impro avec Jocelyn depuis 2 ans dans une autre compagnie. Quand il est venu a Paris Anim Censier je l'ai suivi. Toujours aussi bien.
L’accueil inhumain et manque totale de bienveillance, limite agressivité envers les personnes qui accompagne les enfants . En ce qui me concerne, j’étais mise dehors sous une pluie torrentielle, avec une petite fille de 14 mois, car j’étais la pour accompagner son frère à l’activité et on n’a pas le droit de rester à l’intérieur .Dommage , car les professeurs sont bien.
J ai inscrit mon fils en situation de handicap, à la natation, prof tres froide et aucune bienveillance. Elle lui a hurlé dessus (j avais prévenu qu il est hyperactif et sensible) au lieu de le rassurer. La directrice Mme N Congo a renvoyé mon fils ne souhaitant pas réessayer (il ne peut pas être dans ce groupe il lui faut un cours avec 3 enfants). Femme odieuse qui se permet des commentaires (une petite fille de 6 ans qui n a pas pied dans 0,95 cm d eau elle m a dit : sa mère a mentit elle n a
pas 6 ans !! inadmissible. "Il est puni dêtre handicapé..."
Malgré beaucoup de pluie lors de notre séjour nous étions très confortable dans la Tiny house. Les hôtes sont adorables et le cadre est parfait si l'on aime la nature. Nous reviendrons surement.
Ce week end a été une grande surprise pour l'anniversaire de mon mari qui voulait voir la fabrication du pain .C'est avec gentillesse et patience que Jean-Yves l'a conseillé et guidé . Ces journées sont passées trop vite .Pas de mots pour expliquer leur sympathie leurs délicieux repas et petits déjeuners leur chambre d'une grande propreté et décorée avec gout leur jardin et leurs alentours .Tout cela nous donne l'envie de les partager avec nos enfants et petits enfants dans le futur . Juste un conseil allez -y et vous ne serez pas deçu mais attention au virus qui y goute a envie d'y retourner